Message à caractère informatif.

À l’occasion de mon dernier « papier », disons de mon dernier article, j’ai reçu un nombre impressionnant de courriers de personnes ne comprenant pas le concept de « teaser ». Le chiffre pléthorique de 1 peut-être largement avancé. Je vais donc répondre à cette cohorte de lecteurs – provisoirement – dans l’ignorance. JY. Un teaser c’est donner en une, voire deux images, juste ce qu’il faut pour éveiller la curiosité. Ensuite vient la bande annonce – qui montre plus et qui dure plus longtemps. On peut faire plusieurs teasers et plusieurs bandes annonces. Mais on termine toujours par l’œuvre elle-même. Donc cher camarade, un teaser développé n’est plus un teaser.
Voilà, après cette brillante analyse sémantique, je passe séance tenante à la suite du programme à savoir, la bande annonce.
Musique de film d’épouvante, voix de chroniqueur d’M6 :
Notre narrateur et Pato rencontrent lors d’un excellent repas [péruvien le repas, avec gros plan sur la paella de fruits de mer sauce crevette] 2 représentantes du peuple Kawésqar. Ce peuple littéralement en voie de disparition (sur)vit en Patagonie, au sud du Chili. À la fin du repas, plus de doute. C’est la merde. Le lendemain nos 2 comparses ont rendez-vous à Buin, charmante cité au sud de Santiago, pour une journée repas/rencontre avec nos non moins charmantes Kawésqars. Nos 2 complices, aidés par le Doc José et son frère Claudio pourront-ils changer le cours de l’histoire ? Ou vont-ils eux aussi investir largement dans ce qui sera la plus précieuse des ressources naturelles ? Mais au fait quelle est-elle cette fameuse ressource ? Vous le saurez après cette courte page culturelle.
Musique bucolique, genre scène de fin de Soleil Vert :
Le queltehue (Vanellus chilensis) est un oiseau commun du Chili, également appelé Vanelus. Il mesure de 35 à 37 cm et peut peser jusqu’à 320 grammes. Ici on le surnomme « chien de maison » ou « chien de garde » tellement son caractère de merde en fait un sale piaf digne d’un film d’Hitchcock. Notamment avec ses espèces de griffes qu’il a sur ses ailes et dont il se sert à l’envie si tu pénètres sur son territoire. Et en plus comme il est jamais seul, le queltehue est une vrai plaie !
Voilà, je voulais juste mettre les choses au clair. Il n’y a pire mal qu’un non dit.
Demain, promis, le compte rendu de ma rencontre avec ce peuple fascinant, les Kawésqars. En attendant, je vous conseille de (re)lire Jean Raspail et son « Qui se souvient de ses hommes ». Où comment il retrace 10.000 ans d’histoire de ce peuple oublié…
Le queltehue. Joli mais pas commode!

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